Virtual higher education: some Commonwealth experience
Résumé
Ce texte s'appuie sur l'exemple du Commonwealth de l'enseignement supérieur pour s'interroger sur les évolutions en matière d'éducation virtuelle, de e-learning, d'impact des technologies et pour tirer les leçons des expériences menées. Les technologies d'information et de communication induisent des changements importants quoique limités dans les pratiques de l'enseignement supérieur : il s'agit davantage d'évolution que de révolution. La plupart de ceux-ci visent à faciliter et enrichir les méthodes existantes d'enseignement et de recherche. Leur importance est particulièrement significative pour l'enseignement hors campus dans le cadre de l'enseignement ouvert et à distance. Les étudiants à distance demeurent cependant une minorité, représentant entre 5 et 15 % des inscrits.
Quatre catégories d'acteurs ont eu recours à ces technologies d'information et de communication avec leurs étudiants en modifiant ainsi les pratiques de l'enseignement supérieur. Les universités traditionnelles ont recruté des étudiants à l'étranger dans la mesure où les nouvelles technologies ont facilité les inscriptions en s'affranchissant des frontières. Elles ont été caractérisées par la volonté de ré-utiliser les ressources pédagogiques de l'enseignement en présentiel. Les universités Ouvertes ont adopté les nouvelles technologies comme une nouvelle manière d'enseigner et de toucher leurs étudiants à distance. Les universités d'entreprise ont fait leur apparition quoique de manière plus modeste qu'on ne l'annonçait à l'ère de la bulle de l'Internet commercial (dot-com era). La division du travail rendue possible par l'enseignement à distance a conduit à de nouveaux partenariats entre institutions. Trois préoccupations ont alimenté ce processus : la recherche de nouvelles méthodologies par les institutions ; le désir des individus d'explorer leur potentiel ; le souci des universités d'étendre leur recrutement dans un contexte financier difficile.
Des leçons peuvent être tirées des expériences menées tant en ce qui concerne les modalités pratiques, les aspects économiques, la réglementation que la pédagogie et les programmes. [...]
Quatre catégories d'acteurs ont eu recours à ces technologies d'information et de communication avec leurs étudiants en modifiant ainsi les pratiques de l'enseignement supérieur. Les universités traditionnelles ont recruté des étudiants à l'étranger dans la mesure où les nouvelles technologies ont facilité les inscriptions en s'affranchissant des frontières. Elles ont été caractérisées par la volonté de ré-utiliser les ressources pédagogiques de l'enseignement en présentiel. Les universités Ouvertes ont adopté les nouvelles technologies comme une nouvelle manière d'enseigner et de toucher leurs étudiants à distance. Les universités d'entreprise ont fait leur apparition quoique de manière plus modeste qu'on ne l'annonçait à l'ère de la bulle de l'Internet commercial (dot-com era). La division du travail rendue possible par l'enseignement à distance a conduit à de nouveaux partenariats entre institutions. Trois préoccupations ont alimenté ce processus : la recherche de nouvelles méthodologies par les institutions ; le désir des individus d'explorer leur potentiel ; le souci des universités d'étendre leur recrutement dans un contexte financier difficile.
Des leçons peuvent être tirées des expériences menées tant en ce qui concerne les modalités pratiques, les aspects économiques, la réglementation que la pédagogie et les programmes. [...]
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