Numérisation des thèses
Abstract
J'interviens dans ce colloque surtout au titre de la connaissance du dossier que me permet d'avoir une responsabilité exercée depuis janvier 1997 comme Directrice d'un des deux ateliers nationaux de reproduction des thèses en France, celui de Lille.
Il y a 5 ans, le dispositif de valorisation des thèses était celui défini dans l'arrêté du 25 septembre 1985, relatif au dépôt, au signalement, à la reproduction et à la diffusion de celles-ci sous forme micro-fichée. Mais au cours des années 1998 et surtout 1999, ce dispositif a commencé à être remis en question. Une commission nationale à laquelle j'ai participé, a travaillé deux ans, suite à quoi deux circulaires ministérielles, datant respectivement du 21 septembre 2000 et du 17 juillet 2001 ont préconisé aux universités françaises un dispositif complètement nouveau de diffusion en ligne. Celle du 17 juillet a en outre lancé un appel à candidatures aux universités volontaires pour expérimenter la mise en œuvre des nouvelles dispositions. J'ai été chargée en septembre de coordonner la réponse des universités de mon académie à cet appel et un groupe de délégués s'est mis au travail et a donc pu faire le point sur les difficultés et les réponses à leur apporter.
On se trouve dons en France dans une situation de transition qui risque de durer encore quelques années. Mon propos ce matin sera de donner un aperçu de cette situation et de dégager quelques conclusions concernant les avancées, les difficultés et les enjeux.
Il y a 5 ans, le dispositif de valorisation des thèses était celui défini dans l'arrêté du 25 septembre 1985, relatif au dépôt, au signalement, à la reproduction et à la diffusion de celles-ci sous forme micro-fichée. Mais au cours des années 1998 et surtout 1999, ce dispositif a commencé à être remis en question. Une commission nationale à laquelle j'ai participé, a travaillé deux ans, suite à quoi deux circulaires ministérielles, datant respectivement du 21 septembre 2000 et du 17 juillet 2001 ont préconisé aux universités françaises un dispositif complètement nouveau de diffusion en ligne. Celle du 17 juillet a en outre lancé un appel à candidatures aux universités volontaires pour expérimenter la mise en œuvre des nouvelles dispositions. J'ai été chargée en septembre de coordonner la réponse des universités de mon académie à cet appel et un groupe de délégués s'est mis au travail et a donc pu faire le point sur les difficultés et les réponses à leur apporter.
On se trouve dons en France dans une situation de transition qui risque de durer encore quelques années. Mon propos ce matin sera de donner un aperçu de cette situation et de dégager quelques conclusions concernant les avancées, les difficultés et les enjeux.