Résumé : [...] Les interventions de la Communauté Européenne sont basées sur le principe de subsidiarité qui prévoit que la Communauté peut prendre des initiatives dans certains domaines en vue de favoriser une meilleure harmonisation des politiques pour autant qu'elle respecte les prérogatives de chacun des états. Dans le domaine de l'éducation, ce principe limite fortement les actions susceptibles d'être entreprises car il s'agit d'un domaine considéré le plus souvent comme relevant des affaires intérieures de chaque état. De ce point de vue, les initiatives mettant en avant les nouvelles technologies ont joué un rôle de catalyseur parce qu'elles exigeaient, pour être compétitives, d'adopter une vision européenne dans l'analyse des besoins de formation en particulier lorsqu'il s'agissait de formation portant sur des technologies de pointe. [...]
https://edutice.archives-ouvertes.fr/edutice-00000816 Contributor : Nathalie RoquesConnect in order to contact the contributor Submitted on : Friday, April 22, 2005 - 3:12:56 PM Last modification on : Wednesday, June 2, 2021 - 2:50:03 PM Long-term archiving on: : Thursday, April 1, 2010 - 9:21:58 PM
Christian Depover, Jean-Jacques Quintin, Bruno de Lievre. La coopération université-entreprise vue à travers les programmes européens de formation. Actes du CIPTE, 1998, Montréal, Canada. pp.17-28. ⟨edutice-00000816⟩